Le Livre du Ciel

Boutique - Luisa Piccarreta - Le Livre du Ciel - Tome 12 ...Cher ami lecteur de ce blog, le « Livre du Ciel », ce sont les 36 volumes d'enseignements, de catéchèses, que Jésus a donnés à Luisa Piccarreta et dans lesquels Il explique progressivement, dans une lumière toujours plus intense, ce qu'est le Don de la Divine Volonté et ce que signifie vivre dans la Divine Volonté.

Notre Seigneur insiste souvent sur l'importance de ces écrits pour le renouvellement de l’Église (et du monde) ; Il dit aussi qu'il est absolument nécessaire de lire le « Livre du Ciel » pour que ce Don puisse grandir en nous, nous transformer petit à petit et nous rendre ainsi capables de tout faire par Lui, avec Lui et en Lui !

Jésus dit : « Oh ! Combien seront heureux ceux qui viendront avidement boire à grandes gorgées à ces sources de connaissances, car elles ont la vertu d’apporter la vie du Ciel et de bannir toute tristesse. » (Tome 23, 18 janvier 1928)

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« Le Livre du Ciel » existe en version audio ; pour l'écouter, cliquer ici .

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(Luisa :) Je réfléchissais sur ce que j’avais écrit ces derniers jours et je me disais que ce n’était pas des choses vraiment nécessaires et sérieuses et que j’aurais pu m’abstenir de les mettre sur papier, mais que, cependant, l’obéissance me
demandait de le faire, c’est à dire que j’étais dans l’obligation de dire « fiat » même en cela. Jésus me dit :

« Ma fille, tout ce que je t’ai fait écrire était nécessaire pour faire connaître la manière de vivre dans ma Volonté. En ne disant pas tout, tu causerais un manque quant à la manière de vivre dans ma Volonté et, conséquemment, on ne connaîtrait pas tous ses avantages. (....)

Dans ma vision globale des choses, il m’apparaît que ces écrits seront pour mon Église comme un nouveau soleil émergeant en son sein, et que, attirés par la lumière brillante de ce soleil, les hommes voudront en être transformés, spiritualisés et divinisés, ce qui amènera un complet renouvellement de l’Église et transformera la face de la terre.

La doctrine concernant ma Volonté est la plus pure, la plus belle. Elle ne peut être ternie par ce qui est matériel ou par des intérêts personnels, et ceci, autant dans l’ordre surnaturel que dans l’ordre naturel. Elle sera comme un soleil, toujours plus pénétrante, plus féconde, plus considérée et acceptée. Et comme cette doctrine est lumière, elle se fera comprendre et fera son chemin par elle-même. Elle ne sera pas sujette aux doutes ou soupçonnées d’erreurs. Si quelques mots ne sont pas compris, ce sera par excès de lumière, laquelle, éclipsant l’intellect humain, fera que les créatures ne seront pas en mesure de comprendre toute cette vérité. Mais on n’y trouvera pas un mot qui ne soit pas vrai ; tout au plus, on ne pourra pas comprendre totalement.

Voilà pourquoi, considérant le bien que j’y vois, je t’incite à n’omettre rien de ce que je te dis. Un simple mot ou une simple comparaison concernant ma Volonté pourra s’avérer une rosée bénéfique pour les âmes, aussi bénéfique que la rosée sur les plantes après une journée de grande chaleur, ou une averse après des mois de sécheresse. Tu ne peux comprendre tout le bien, la lumière, la force que peut renfermer un simple mot ; mais ton Jésus le sait et connaît ceux qui pourront en tirer profit et tout le bien qui pourra en résulter. »

Pendant qu’il disait cela, il me fit voir au milieu de l’Église une table et tous les écrits sur la Divine Volonté disposés sur cette table. Plusieurs vénérables personnes étaient autour de la table et furent transformés en lumière et divinisées et, quand elles partirent, elles communiquèrent la lumière à ceux qu’elles rencontraient. Jésus ajouta :

« Tu verras du Ciel le grand bien qui surgira quand l’Église recevra cette nourriture céleste qui la fortifiera et la fera s’élever en son plein triomphe. » (Le Livre du Ciel, Tome 16, 10 février 1924)

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(Luisa :) Ensuite, mon doux Jésus prit tous les livres que j’ai écrits sur la Divine Volonté, les réunit et les pressa sur son Cœur. Puis, avec une tendresse inexprimable, Il dit :

« Je bénis ces écrits de tout mon cœur ; je bénis chaque mot, je bénis les effets et les valeurs qu’ils contiennent ; ces écrits font partie de moi. »

Il appela ensuite les anges qui, s’inclinant profondément, se mirent à prier. Et comme deux prêtres qui devaient prendre connaissance de ces écrits se trouvaient là, Jésus dit aux anges de toucher leur front pour que le Saint-Esprit leur soit communiqué et qu’il infuse sa lumière en eux, afin qu’ils puissent bien comprendre les vérités et les bienfaits que renferment ces écrits. Les anges obéirent puis, nous bénissant tous, Jésus disparut. (Tome 17, 17 septembre 1924)

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 « Ma fille, (...) Nos écrits viennent du tréfonds de mon Cœur et (...) Je fais couler en eux la Tendresse de mon Cœur pour toucher ceux qui les liront, et la Fermeté de mon Discours Divin pour les fortifier dans les Vérités de ma Volonté. Dans toutes les paroles, les Vérités, et tous les exemples que Je te fais écrire, Je fais couler la dignité de ma Céleste Sagesse, de telle sorte que ceux qui les liront, s'ils sont en état de grâce, vont ressentir en eux ma Tendresse, la Fermeté de ma Parole et la Lumière de ma Sagesse ; et comme entre des aimants, ils seront entraînés dans la Connaissance de ma Volonté. Quant à ceux qui ne sont pas en état de grâce, ils ne pourront nier que c'est une lumière ; et la lumière fait toujours du bien, elle ne fait jamais de mal ; elle illumine, elle réchauffe, elle fait découvrir les choses les plus cachées et porte à les aimer. Qui peut dire que le soleil ne lui fait pas du bien ? Personne. Plus que le soleil, Je fais sortir ces écrits de mon Cœur pour qu'ils puissent faire du bien à tous. C'est pourquoi Je m'intéresse tant à ce que tu écris - à cause du grand Bien que Je veux faire à la famille humaine ; si bien que Je les considère comme Mes propres écrits, parce que Je suis toujours Celui qui dicte et tu es la petite secrétaire de la longue histoire de ma Volonté. » (Tome 20, 8 décembre 1926)

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« Ma fille, toutes mes œuvres se soutiennent les unes les autres. Et le signe qu’elles sont mes œuvres, c’est que l’une ne s’oppose pas à l’autre. Elles sont tellement reliées entre elles que l’une s’appuie sur l’autre. Cela est si vrai qu’après avoir formé mon peuple élu, d’où devait naître le Messie annoncé, j’ai formé les prêtres dans ce même peuple pour instruire et préparer au grand bien de la Rédemption. Je leur ai donné des lois, des manifestations et des inspirations qui ont constitué les saintes Écritures, que l’on appelle la Bible, et chacun s’appliquait à l’étudier. C’est pourquoi avec ma venue sur terre, je n’ai pas détruit, mais plutôt soutenu les saintes Écritures. Et mon Évangile annoncé ne s’opposait en rien aux Écritures ; les deux se soutenaient admirablement. Je formais l’Église naissante et le nouveau sacerdoce qui ne se détachent ni des saintes Écritures ni de l’Évangile. On les étudiait attentivement pour instruire le peuple, et l’on peut dire que quiconque ne veut pas puiser à cette source bienfaisante ne m’appartient pas, car elle est le fondement de mon Église et la vie même qui forme le peuple.

Or ce que je manifeste sur ma Divine Volonté et que tu écris peut être appelé l’ "Évangile du Royaume de la Divine Volonté". Il ne s’oppose en rien aux saintes Écritures ni à l’Évangile que j’ai annoncé lorsque j’étais sur terre ; en fait, on peut l’appeler le soutien des deux.

C’est pourquoi je permets et demande aux prêtres de venir, qu’ils lisent l’Évangile du Royaume de mon divin Fiat pour que je puisse leur dire comme à mes Apôtres : "Allez dans le monde entier prêcher l’Évangile" , car je me sers de mes prêtres dans mes œuvres. Et tout comme j’avais des prêtres avant ma venue pour préparer le peuple, et les prêtres de mon Église pour confirmer ma venue et tout ce que j’ai dit, j’aurai aussi les prêtres du Royaume de ma Volonté.

Voici, c’est à cela que serviront toutes les choses que je t’ai manifestées, toutes les vérités surprenantes, et les promesses de tant de biens que je veux accorder aux enfants du "Fiat Voluntas Tua" (Que Ta Volonté soit faite) ; ce sera l’Évangile, la base, la source inépuisable où chacun viendra puiser la vie céleste, le bonheur terrestre et la restauration de sa Création. Oh ! Combien seront heureux ceux qui viendront avidement boire à grandes gorgées à ces sources de connaissances, car elles ont la vertu d’apporter la vie du Ciel et de bannir toute tristesse. » (Tome 23, 18 janvier 1928)

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Venant vers moi, mon Jésus au cœur toujours tendre me dit : « Ma fille, ne sois pas étonnée si tu es plus encline à écrire concernant ma Volonté et que tu y trouves plus de plaisir parce qu’entendre, parler ou écrire au sujet de ma Volonté est la chose la plus sublime qui puisse exister sur la terre et au Ciel. C’est ce qui, à la fois, me glorifie le plus, comprend toute bonne chose et toute sainteté. » (Tome 13, 13 octobre 1921)

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